Étrange période que nous vivons là... qui me plonge dans la nostalgie de mes journées rythmées entre la maison, les enfants et mon  travail à terre d’Oc

Objectifs du Développement Durable 2050, et l’énergie dans tout ça ?

Un bon moyen de réduire son empreinte carbone et le réchauffement climatique

Confinés ! Nous sommes près de trois milliards d’êtres humains aujourd’hui confinés à l’abri du COVID 19 qui sévit aux quatre coins du globe… et nous et vous et eux?

Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits de la femme, l’occasion de rappeler qu’il faut travailler pour cette cause tous les autres jours de l’année…

Je m’appelle Miki Komaki, j’ai 47 ans et je vis à Kagoshima avec mes enfants qui ont 15 et 17 ans et mon mari. Il est producteur de thé et dans sa famille on cultive le thé depuis 67 ans !

Je suis Asuka Kumaka, je vis à Kagoshima et ma famille produit du thé depuis 50 ans. Je n’ai que 31 ans mais j’ai appris le métier et je travaille dans le thé depuis 11 ans. 

L’île de Kyushu à l’extrême Sud du Japon est considérée comme le berceau de la civilisation japonaise et du thé lorsque le moine EISAI au XIIe siècle a implanté les premiers théiers au Japon qu’il a rapporté de Chine. Les sols fertiles d’origine volcaniques (on appelle Kyushu la terre de feu) et l’intensité solaire permettent de produire des thés remarquables depuis la période Meiji au XIXe siècle.

En chine, le thé au jasmin (Mo Li Hua Cha) serait le plus ancien des thés aux fleurs, il aurait été élaboré sous la dynastie impériale des Song (960-1279). Notre Mo Li Hua Cha est réalisé selon la méthode traditionnelle millénaire, on étale sur une bâche tendue au sol une couche de feuilles de thé, on étale, par-dessus, une couche de boutons de fleurs de jasmin, puis une nouvelle couche de thé, puis de boutons jusqu’à atteindre 30 à 40 cm. La chaleur dégagée par les fleurs entassées entre les...

Lors de mon voyage en avril 2019, j’ai eu l’occasion de rencontrer les équipes du projet Fair For Life (FFL). Malgré des efforts du gouvernement post-apartheid pour réduire la pauvreté en investissant lourdement dans des programmes sociaux et d’infrastructures, la situation reste très difficile pour les communautés africaines (un taux de chômage très élevé, une grande partie de la population n’a pas accès au logement, à l’éducation et la santé, 48 % vivent sous le seuil de pauvreté).