Étrange période que nous vivons là... qui me plonge dans la nostalgie de mes journées rythmées entre la maison, les enfants et mon  travail à terre d’Oc

2050 Sustainable Development Goals, and what about energy?

A good way of reducing your carbon footprint and global warming.

Confinés ! Nous sommes près de trois milliards d’êtres humains aujourd’hui confinés à l’abri du COVID 19 qui sévit aux quatre coins du globe… et nous et vous et eux?

Le 8 mars, c’est la journée internationale des droits de la femme, l’occasion de rappeler qu’il faut travailler pour cette cause tous les autres jours de l’année…

Like him, I was trained as a producer but I continue to attend trainings because we have to adapt to natural changes every year. When I am not in our shop, I meet other women tea producers and we talk a lot about our profession... My work is very important to me, it makes me grow and living among the tea trees brings me a great deal of serenity.

I am Asuka Kumada, I live in Kagoshima and my family has been producing teas for 50 years. I'm only 31 but I have learned the profession and have been working in tea for 11 years.

L’île de Kyushu à l’extrême Sud du Japon est considérée comme le berceau de la civilisation japonaise et du thé lorsque le moine EISAI au XIIe siècle a implanté les premiers théiers au Japon qu’il a rapporté de Chine. Les sols fertiles d’origine volcaniques (on appelle Kyushu la terre de feu) et l’intensité solaire permettent de produire des thés remarquables depuis la période Meiji au XIXe siècle.

In China, jasmine tea (Mo Li Hua Cha) is said to be the oldest of the flower teas and to have been developed under the Song Dynasty (960-1279). Our Mo Li Hua Cha is made according to an age-old tradition; a layer of tea leaves is spread out on a tarpaulin, and on top of them a layer of jasmine flowers is added, followed by another layer of tea and then 30 to 40 cm of jasmine buds. The heat given off by the flowers packed between the layers of tea accelerates the opening of the buds which...

Lors de mon voyage en avril 2019, j’ai eu l’occasion de rencontrer les équipes du projet Fair For Life (FFL). Malgré des efforts du gouvernement post-apartheid pour réduire la pauvreté en investissant lourdement dans des programmes sociaux et d’infrastructures, la situation reste très difficile pour les communautés africaines (un taux de chômage très élevé, une grande partie de la population n’a pas accès au logement, à l’éducation et la santé, 48 % vivent sous le seuil de pauvreté).